Cinq fre`res et soeurs sont re´unis dans la maison de famille, la Casa Belasko, une vaste ba^tisse isole´e au coeur d'un domaine viticole de Provence.
Leur pe`re, un vigneron taiseux, vient de mourir. Il n'a laisse´ qu'une lettre a` ses enfants, et ce qu'il leur re´ve`le les side`re : leur me`re ne se serait pas suicide´e - comme l'avaient affirme´ les me´decins six mois plus to^t. Elle aurait e´te´ assassine´e...
Au cours de la nuit, non-dits, jalousies et frustrations accumule´s au fil des anne´es vont se de´verser. Mais le pire reste a` venir. D'autant que la maison, coupe´e du monde exte´rieur, semble doue´e de sa propre volonte´...
Après L'Art du meurtre et Le Sang des Belasko, le nouveau suspense de Chrystel Duchamp.
Lyon, de nos jours. Anaïs va trouver l'un de ses amis, Thomas, commandant de police. Sans nouvelles de sa soeur Esther depuis une semaine, Anaïs a fini par se rendre à son domicile. Et pour elle, cela ne fait aucun doute : sa cadette a été enlevée. Si elle avait décidé de disparaître de son plein gré, pourquoi aurait-elle laissé ses clés de voiture et son téléphone portable ?
Les mois passent et l'enquête de Thomas s'enlise. Pendant ce temps, d'autres femmes de la région s'évanouissent sans laisser de trace. Jusqu'à ce que l'on en retrouve une, pendue dans une usine désaffectée, le crâne rasé, la langue arrachée. Puis une deuxième... À croire qu'il ne s'agit là que du début d'une série macabre... Et si Esther avait été victime d'un psychopathe aux pulsions perverses ?
Quatre victimes. Et aucun coupable.
Des relations amoureuses sans lendemain. Une mère possessive et intrusive. Des nuits entières à errer. La vie d'Audrey, 34 ans, pourrait se résumer à une succession d'échecs. Seul son métier de lieutenant à la PJ lui permet de garder la tête hors de l'eau.
En ce jour caniculaire de juillet, Audrey et son équipe sont appelés sur une scène de crime. Le corps de Franck Tardy, avocat à la retraite, est retrouvé dans son luxueux appartement du XVIe arrondissement. Son corps a été torturé, mutilé, partiellement écorché, puis mis en scène sur une table dressée pour un banquet. Pour compléter cette vanité, un crâne humain lui fait face :
Celui de sa défunte épouse, dont la tombe a été profanée quelques jours auparavant.
Audrey et son équipe découvrent rapidement que l'homme est un habitué des clubs sadomasochistes parisiens et que, richissime, il a dépensé sa fortune en achetant des oeuvres d'art. Au point de finir ruiné.
Quand un deuxième meurtre est commis dans des conditions similaires, Audrey sait qu'elle fait face à un psychopathe. À elle de plonger dans les milieux interlopes parisiens, des maisons de vente aux clubs SM, pour débusquer ce tueur, dont les méthodes extrêmes n'ont d'égale que son appétit meurtrier.
Quand Delphine se réveille dans un lieu inconnu, elle est menottée à un radiateur. Bientôt rejointe par une autre prisonnière, qu'elle connaît. L'une des deux ne survivra pas à l'horreur. L'enquête confiée à la Crim n'avance pas assez vite aux yeux de l'opinion. Et pour cause : la mémoire de la rescapée est un véritable champ de ruines...
Une rescapée en état de choc.
Un assassin coincé au milieu de ses souvenirs en lambeaux.
Delphine, 22 ans, est étudiante à Lyon. Issue d'une famille bourgeoise, elle tente de s'affranchir de son éducation stricte en écumant bars et boîtes de nuit. Au cours d'une soirée, elle suit une mystérieuse brune jusqu'à sa voiture...
Quand Delphine se réveille dans un lieu inconnu, elle est menottée à un radiateur. Bientôt rejointe par une autre prisonnière, qu'elle connaît. L'une des deux ne survivra pas à l'horreur.
L'enquête confiée à la Crim n'avance pas assez vite aux yeux de l'opinion. Sous pression, le capitaine Romain Mandier accepte l'aide d'un profiler et d'une psychotraumatologue.
Choquée, la rescapée se souvient d'un homme en noir, mais sa mémoire est un champ de ruines. Peut-on seulement se fier à ses souvenirs ? Exhumer d'eux le détail qui mènera au coupable ?
Une fois de plus, Chrystel Duchamp surprend par une intrigue des plus originales et un épilogue aussi glaçant que retors !