Il semble difficile de croire qu'une année soit déjà passée depuis la publication de notre livre :
L'Intelligence Artificielle en questions.
Cependant, malgré la Covid19 et ses multiples variants, causant des restrictions, et d'immenses malheurs humains et économiques, l'Institut EuropIA a tenu la barre et su persévérer avec constance, dans sa mission de sensibilisation du Grand Public aux enjeux de l'IA.
Face aux vagues d'antisémitisme qui ont parcouru l'Europe de la première moitié du XXe siècle - des pogroms russes aux camps de la mort allemands en passant par les rafles françaises - notre famille a dû son salut à la clairvoyance et à la perspicacité de notre père. Contre la barbarie, nous avons trouvé refuge et réconfort dans la musique : que ce soient les cantiques au temple de la Place Sébastopol de Marseille, le concert familial du huit août 1944 devant le château de la Chômette à St Beauzire ou l'entrée comme premier violon de mon frère Marcel dans l'orchestre des Chantiers de la jeunesse. La musique était le lien familial indéfectible entre les générations Vinitzki's. Chacun des huit enfants de Max et Khinda, nos parents, devait travailler son instrument de longues heures. C'est ainsi que j'ai baigné dans cet environnement stimulant qui représentait pour moi un univers idéal. Malgré la guerre qui m'avait fermé l'accès à l'école et au conservatoire, je suis devenu musicien. Avec mes frères et soeurs, nous apportions du bonheur autour de nous. C'était vrai pour les forces américaines dans l'immédiat après-guerre puis, pendant des décennies, pour ces grandes familles fortunées sur la Côte d'Azur. Passionnées de musique, elles se faisaient une joie de la partager avec leurs invités. Les soirées passées aux côtés de musiciens de légende comme Mstislav Rostropovitch, David Oïstrakh, Benny Goodman, Nathan Milstein, Isaac Stern et Arthur Rubinstein, ont été des instants de félicité intense restés gravés à jamais dans ma mémoire. Ces artistes hors du commun n'avaient pas de préjugés et prenaient spontanément leurs instruments pour faire le « boeuf » avec nous. La musique m'a tellement comblé qu'il était naturel que je lui rende hommage au travers de ce livre.
Et si la cause de la catastrophe écologique et sociale qui ébranle notre société et menace notre espèce n'était pas seulement économique ou culturelle, mais surtout politique ? Si le capitalisme destructeur, le consumérisme absurde, la transformation de notre vie en un grand laboratoire et notre incapacité grandissante d'arrêter la fuite en avant vers l'abîme avaient pour centre de gravité cette machine morbide qu'est l'Etat moderne et son régime de légitimation, hypocrite et déresponsabilisant, la « démocratie » représentative ? Alors, pour vivre, survivre et préserver notre dignité, il nous faudrait renouer avec ce qui fut l'objectif de millénaires de luttes populaires et paysannes, et qu'avaient redécouvert les Gilets jaunes : la démocratie directe.Cet ouvrage offre une analyse documentée et une critique sans concession de l'Etat et du régime représentatif ; une défense, mais aussi une description et une discussion détaillée des outils de la démocratie directe ; il plaide pour que l'instauration de celle-ci devienne la priorité des mouvements écologistes et de tous les citoyens raisonnables.
« Aussi loin que je me souvienne, on ne m'a jamais appris a` aimer. Je dois dire que les choses n'ont pas beaucoup e´volue´. » C'est sur cette sentence que s'ouvre le journal anonyme qu'est Ma^le Noir.
Au fil des pages et des pe´re´grinations de cet homme d'une trentaine d'anne´es, on de´couvre son parcours affectif chaotique, ses atermoiements et son incapacite´ a` s'ouvrir aux autres. Diffe´rentes rencontres le font petit a` petit sortir du confort feutre´ de sa solitude, mais au moment ou` il semble finalement s'ouvrir, et ou` l'affection et l'amour font enfin partie des e´motions qui l'animent, tout lui e´chappe.
On suit ce narrateur dans ses re´flexions sur les sujets de socie´te´ qui le traversent et le de´passent, le racisme, le mouvement de´colonial, l'immigration. Parfois cynique, me´lancolique, tendre ou euphorique, le narrateur nous fait voyager dans cette vie d'immigre´ en que^te d'un bonheur simple, celui de l'amour des autres et de soi, et a` travers lui, la liberte´.
D'une plume libre, vive et tranchante, Ma^le Noir est un roman puissant, de´rangeant et universel.
Cet ouvrage retranscrit, en quelque sorte, la confrontation d'une conscience avec elle-même, la conversation que Flavio Troisi, l'interlocuteur transactionnel, permet d'établir entre le petit Marco qui travaillait à treize ans chez un chausseur en son village de Toscane et le Président de Texas Instruments puis d'Apple qu'il est devenu par la suite.
Sur ce chemin, Marco Landi n'a jamais oublié le Flavio Troisi qui continue de l'habiter, l'homme qu'il était, l'homme tout court, forcé de préserver son librearbitre dans un univers souvent tenté de se déshumaniser, sous la menace d'une parodie de science-fiction.
Loin de condamner les progrès de l'intelligence artificielle et du numérique, il s'agit d'en retenir le meilleur, au service de ce que nous sommes, toujours présents, toujours vivants.
Loin d'accepter un « turbo-capitalisme » délétère mettant à mal et condamnant à terme la vraie richesse, inaliénable, susceptible de rendre à nos entreprises leur fondement de chair et d'âme, sachons trouver ici la voie d'une nouvelle Espérance...
« Le Temps est-il un fleuve, jamais deux fois le même : un cours d'eau impossible à remonter ? Une prison ? Un dieu tueur, ou bien, comme disait Kant, une forme pure de l'intuition sensible ? Etsi c'était le sceau d'une promessesecrète ? S'ils'agissait non pas de ce qui passe, sépare et emporte, mais au contraire de ce qui retient, rassemble et supporte ? Pour écrire ce livre, j'ai oeuvré comme ces inspecteurs de police qui épinglent à leur liège les éléments du dossier : la photo d'une arme, un rapport, un numéro de téléphone, un article de journal, etc. En changeant de rythme et en éclatan tle propos,j'ai d'abord procédé par réfraction avant de concentrer les rayons attrapés ici et là vers un même point qui se trouve être à la fois l'origine et la destination du Temps. Un point marqué d'une Croix. »
Notre mode de vie n'a pas cessé d'évoluer depuis des siècles. Toutes nos habitudes ont été chamboulées et surtout celles portées sur l'activité physique et la nutrition. Ce nouveau mode de vie améliore-t-il notre santé? Est-il bon pour notre espérance de vie? Loin de là, j'en ai bien peur. Aujourd'hui, un nouveau fléau à deux têtes menace notre bien-être, la sédentarisation et l'inactivité. Toutes les recherches scientifiques, tous les chiffres des organisations internationales nous montrent actuellement que nous scions avec ferveur la branche sur laquelle nous sommes assis. Ces organisations en collaboration avec les gouvernements occidentaux tirent enfin la sonnette d'alarme pour nous mettre en garde contre les méfaits cumulés de cette hyper sédentarisation que nous vivons.Notre vie ainsi que celle de nos enfants sont en danger. Si faire de l'activité physique est une bonne chose ce n'est pas suffisant. Il faut réussir à modifier nos comportements pour reprendre possession de notre corps et redevenir actif. Cet ouvrage a pour ambition de vous faire prendre conscience de cet état de fait en dressant un portrait de notre société puis de vous donner les outils nécessaires, tant dans le domaine physique que psychologique, pour vous aider à reprendre le contrôle de votre vie et de votre bien-être indéniablement lié à l'activité physique et au mouvement en général.
Pendant des mille´naires les villes ont maille´ l'histoire des civilisations et des peuples, aspirant les femmes, les hommes et concentrant les richesses et les savoirs. Si les premie`res villes apparaissent avec les e´critures ; il revient a` notre e´poque d'inventer celle de demain a` l'e`re du nume´rique. Alors que l'espe´rance de vie a cru dans les espaces urbains au cours du sie`cle dernier, on observe de nos jours la tendance inverse. Aujourd'hui, une gigantesque re´volution e´lectrique englobe notre monde, stimule´e par les ge´ants d'internet. Les moyens sont a` notre porte´e et la plupart n'ont pas besoin d'e^tre invente´s. Il reste a` en faire la synthe`se cre´atrice car ce sont bien les villes et les hommes qui font l'histoire. Cet ouvrage collectif propose la re´flexion de scientifiques, d'entrepreneurs, etc. qui s'interrogent sur l'e´mergence d'une ville intelligente, la Smart City en posant une e´cologie citadine qui, d'une certaine fac¸on, s'articule sur un biomime´tisme observe´ dans les e´cosyste`mes les plus complexes. Il s'agit de coe´volution, autrement dit de multiples me´canismes qui e´tablissent des interrelations entre des acteurs (entreprises, le secteur prive´ ou public, territoires, citoyen) qui se rendent des « services mutuels ».
Le plan du livre e´claire le synopsis s'agissant d'une trame ordonne´e autour de la de´sagre´gation de la socie´te´ franc¸aise avec particulie`rement le triomphe quasi narcissique de ce que l'auteur qualifie les «Moi d'abord» au de´triment du «Nous» et de l'esprit de de´passement du pre´sent. L'auteur a la particularite´ d'e^tre a` la congruence d'une triple expe´rience, a` la fois Universitaire, il est professeur de droit et de sciences politiques, e´lu local, ayant occupe´ des fonctions municipales, me´tropolitaines et e´tant toujours conseiller de´partemental (LR). Enfin, il a dirige´ de nombreuses collections chez plusieurs e´diteurs ; il est par ailleurs auteur de bandes dessine´es, ce qui peut l'amener a` des re´flexions souvent ironiques. Re´solument ancre´ dans une vision opposant enracinement a` nomadisme, ainsi que tradition a` progressisme, il de´montre que tradition et modernite´ peuvent se conjuguer si l'on pre´serve une me´moire collective et un esprit d'aventure voire d'he´roi¨sme. C'est le visage de la tradition gre´co-romaine qui marque son tempo. C'est aussi celui des cathe´drales et de la Re´publique qui inspirent ses appartenances et la de´finition du bien commun. Bref, la France vient du fond des a^ges, dans ces temps d'incertitudes, son ge´nie doit a` nouveau se libe´rer. Son destin pourra alors se conjuguer, avec les autres Nations europe´ennes, dans une Europe puissante.
Un autre soir, c'est elle qui les rejoignit. Salomon et éthan lui ménagèrent une place entre eux deux. Son visage reflétait les ors et les rouges du feu. Tous attendaient qu'elle prenne la parole. Ce soir-là, elle ne parla pas.Seul son visage variait selon le gré des flammes. Tantôt elle était un ange, tantôt un diable, tantôt une sage, tantôt une prophète.Tous les regards étaient rivés au sien. Le feu s'éteinit de lui-même car personne n'osait l'alimenter. Quand ils furent tous plongés dans la nuit noire, elle dit :- Nous ne sommes pas qu'un seul visage
Désiré Duculot, infirmier en chef d'une maison de repos devient, bien malgré lui, détenteur de secrets si longtemps gardés par une de ses pensionnaires : Lisbeth Castel de Mont le Soie. Ses allures de « grande dame condescendante» liée par une lointaine filiation à Léopold II, roi des Belges, lui ont valu ce surnom de Comtesse auquel elle tient. Elle connaît bien l'histoire de sa région, ses petits et grands mystères pas toujours avouables bien enfouis dans la mémoire collective. D'abord curieux, Désiré use de stratagèmes pour enquêter ; les faits, bien que prescrits, attestent du « silence assourdissant » d'une époque où les dérives de la haute société, des politiciens et du clergé sont monnaie courante. L'irrévérencieuse Comtesse, en aurait-elle profité pour son enrichissement personnel ? Tous ses sens libertins en éveil, aimant les plaisirs de la bonne chair, audacieuse et libre, croqueuse d'hommes et d'héritages, Lisbeth traverse les décennies sans être inquiétée. Adroitement, Désiré suscite des confidences qui le laissent pantois, car les révélations s'avèrent extraordinaires. D'abord spectateur des machinations racontées sans le moindre état d'âme, l'infirmier saisit ensuite l'opportunité de devenir acteur de son avenir. Après le décès accidentel de Désiré, son fils, devenu commissaire de police, hérite d'une propriété bien mal acquise.
Pour la grande majorité de la population, la nutrition et la santé sont des sujets très confus. Cette confusion provient en partie du fait que la plupart des gens cherchent des informations sur ces sujets en ligne, où toute personne ayant une opinion, quelles que soient ses références, peut se poser en autorité et toucher des millions de personnes. Comme la plupart des gens n'ont pas de formation en nutrition et/ou n'ont pas le temps de lire ou d'interpréter les études, cela signifie que les entreprises et les experts autoproclamés qui ont le plus d'argent pour la publicité et/ou les stratégies de médias sociaux les plus avisées finissent par influencer le plus grand nombre de personnes. Pire encore, d'innombrables études sont financées par des entreprises alimentaires et des groupes de pression dans le but de faire en sorte que leur(s) produit(s) semble(nt) idéal(s) pour les performances sportives, la perte de poids et/ou la santé. Cette "recherche scientifique" se répercute sur les médecins qui, ne reçoivent en moyenne que 20 heures de formation en nutrition pendant toute leur formation médicale, et n'ont généralement pas le temps de se tenir au courant des recherches les plus récentes. Il fait également son chemin jusqu'aux diététiciens et nutritionnistes, dont le matériel pédagogique est souvent financé par ces mêmes entreprises et groupes de pression, ainsi qu'aux entraîneurs et autres professionnels du fitness et du sport, qui fondent souvent leurs recommandations sur des concepts très dépassés.
Professeur, j'hérite en Terminale d'élèves qui ne maîtrisent pas l'accord du participe passé, peinent à déchiffrer une phrase complexe et manient leur propre langue comme s'il s'agissait d'une langue étrangère, usant du « donc » et du « parce que » à la fac¸on d'un joueur cherchant à deviner les numéros gagnants d'une loterie. En lisant leurs copies, j'ai trop souvent l'impression de me trouver devant des enfants malnutris, voire dénutris, à qui il faut d'abord donner une bouillie protéinée parce qu'ils ne sont pas en état d'avaler une nourriture plus consistante. Combien sont-ils en ce cas ? Beaucoup trop. Une grande partie de mes élèves obtiennent leur baccalauréat alors qu'ils sont dans un état de quasi-illettrisme. Si l'on quittait jadis l'école primaire en sachant lire et écrire, on entre aujourd'hui à l'Université en éprouvant les plus grandes difficultés pour lire et en ne sachant plus du tout écrire. De cette catastrophe, tous sont complices : ministres de passage qui ne rendent jamais compte de leurs méfaits, chroniqueurs hors-sol qui les encensent du haut de leur ignorance, intellectuels qui ont abandonné la cause de l'école pour de vains mais plus juteux bavardages, professeurs, aussi, qui distribuent sans conviction, uniquement pour qu'on leur « fiche la paix », des notes auxquelles nul ne croit. La société tout entière semble indifférente au préjudice subi par d'innombrables jeunes gens qu'elle consent à voir priver de lettres et d'instruction pourvu qu'on les gratifie de diplo^mes en chocolat après leur avoir promis la « réussite » depuis le berceau. Le mensonge sur cette situation ne peut plus durer. J'ai donc décidé de révéler au public l'ampleur alarmante de la désinstruc- tion nationale, d'en fournir des preuves et en indiquer les causes, dans la conviction qu'il nous est encore possible de nous relever collectivement de ce désastre.
« Prends tes ailes, hisse-toi sur les marches de l'infini et de´ploie a` pleine voix, le rire qui est en toi ».
C'est par ces mots qu'une me`re s'adresse a` son fils, en lui offrant sous la forme d'un he´ritage philosophique, la possibilite´ d'une autre vie. Mais au-dela` de ce legs, c'est a` tous les hommes que s'adresse la philosophe et psychanalyste, Elsa Godart.
Re´volte´e par un monde dans lequel elle ne se reconnait plus, elle de´cide de re´agir et de chercher ce qui peut nous relever : retrouver le fondement me^me de ce qui lie tous les hommes au-dela` d'eux- me^mes ; au-dela` de leurs contradictions ; au-dela` de leurs inte´re^ts e´goi¨stes. Un lien qui fait ve´rite´ parce qu'il fait sens.
Ainsi, ce petit pamphlet, qui nous fait cheminer individuellement et collectivement, n'a d'autre but que de rappeler, qu'en nous subsiste un lien transcendant, un lien au-dela` de tout, un lien capable de tout : de cre´ation, d'amour, d'humour, de ge´ne´rosite´, d'empathie, d'humilite´, de sagesse, de ve´rite´, de joie, de puissance... Un lien qui nous plonge dans ce qu'il y a de plus humain en l'homme et qui re´tablit avec force et conviction, l'espe´rance en l'avenir, l'espe´rance en la vie : notre sentiment d'humanite´.« Prends tes ailes, hisse-toi sur les marches de l'infini et de´ploie a` pleine voix, le rire qui est en toi ».
C'est par ces mots qu'une me`re s'adresse a` son fils, en lui offrant sous la forme d'un he´ritage philosophique, la possibilite´ d'une autre vie. Mais au-dela` de ce legs, c'est a` tous les hommes que s'adresse la philosophe et psychanalyste, Elsa Godart.
Re´volte´e par un monde dans lequel elle ne se reconnait plus, elle de´cide de re´agir et de chercher ce qui peut nous relever : retrouver le fondement me^me de ce qui lie tous les hommes au-dela` d'eux- me^mes ; au-dela` de leurs contradictions ; au-dela` de leurs inte´re^ts e´goi¨stes. Un lien qui fait ve´rite´ parce qu'il fait sens.
Ainsi, ce petit pamphlet, qui nous fait cheminer individuellement et collectivement, n'a d'autre but que de rappeler, qu'en nous subsiste un lien transcendant, un lien au-dela` de tout, un lien capable de tout : de cre´ation, d'amour, d'humour, de ge´ne´rosite´, d'empathie, d'humilite´, de sagesse, de ve´rite´, de joie, de puissance... Un lien qui nous plonge dans ce qu'il y a de plus humain en l'homme et qui re´tablit avec force et conviction, l'espe´rance en l'avenir, l'espe´rance en la vie : notre sentiment d'humanite´.
Le Docteur Jacques Vigne est un psychiatre français formé à Paris. Après l'obtention de son diplôme, il décide de partir pour l'Inde pour étudier trois ans à l'Université hindoue de Bénarès. Puis, il vécut une dizaine d'années auprès de son maître Swami Vijayânanda. Inspiré par ce dernier, il vit principalement en Inde avec des périodes en ashram et en ermitage dans l'Himalaya. Il étudie, entre-temps, les rapports subtils entre le corps, l'esprit et l'âme. Adepte de la philosophie hindoue védanta, il compare les techniques de méditation traditionnelles et la médecine occidentale. Son temps est partagé entre retraite, écriture, méditation et intervention en public principalement des conférences. Il est l'auteur de nombreux ouvrages traitant de spiritualité et de médecine curative. Dans ses écrits, il est particulièrement attentif à établir des ponts entre l'orient et l'occident, entre la psychologie moderne et la spiritualité, entre les pratiques de sagesse de l'Inde et le christianisme. Encore aujourd'hui il soutient différents projets humanitaires en Inde et au Népal.Ce livre regroupe différents témoignages, photos et histoires de la vie de Jacques Vigne «vu par son assistante» ainsi que certains aspects considérés comme non-conventionnels...
L'accumulation exponentielle des innovations technologiques, notamment dans le domaine médical, et des perturbations environnementales propulse l'humanité dans un avenir incertain, dont la direction sur le long terme est impossible à définir, et même à imaginer, faisant de la futurologie une science-fiction hautement spéculative et hasardeuse. L'évolution biologique de notre espèce (modifications morphologiques et génétiques), en cours depuis des millions d'années, se poursuit dans ce contexte bien qu'elle soit moins spectaculaire et, a priori, moins imprévisible que l'évolution culturelle. Comme toute espèce, l'Homme n'a cessé d'évoluer au cours du temps par sélection naturelle, mutation, hybridation, sous l'effet de processus génétiques contraints (darwiniens) et par adaptation. Dans cet ouvrage la réflexion engagée par la Société d'Ecologie Humaine ne se focalise donc pas sur les questions futuro-techniques habituelles, mais s'interrogent sur la trajectoire proprement biologique, phylogénétique, que pourrait suivre l'humanité pendant les prochains millénaires.
Un jour, je parle de ma vie professionnelle à deux étudiants en est sa disparitionsciences humaines. Ils me retournent:- Ce savoir-là, il faut que vous le transmettiez. On ne nous l'enseigne pas. Nous n'avons rencontré rien de semblable dans nos livres.A la lumière de petits tableaux drolatiques et profonds, L'Utopie du travail social est sa disparition rend justice à la poésie baroque des «quartiers sensibles», interroge et éclaire le sens de l'engagement interculturel.Un vade-mecum décalé
La marchandise a pris le pouvoir dans nos vies. Elle éprouve notre capacité à nous émouvoir, à nous indigner et à nous intégrer dans un corps collectif réagissant aux impulsions de l'extérieur. C'est pourquoi notre rapport aux biens marchands entrelace le désir, le pouvoir, la séduction, la tromperie...mais aussi l'amitié et l'amour. Cet ouvrage s'intéresse aux différents visage de la mètis marchande, forme d'intelligence et de pensée qui implique un ensemble complexe d'attitudes mentales et de comportements combinant le flair, la sagacité, la feinte, et les habiletés diverses. Qu'il s'agisse de la mode, du luxe, de l'addiction à l'achat ou des pouvoirs de l'objet, il passe en revue ces différents sortilèges dont use la marchandise pour se jouer de nous grâce à de multiples machines de féerie.
Nice, juillet 2016Julien, brillant avocat d'affaires à Paris, décide de passer quelques jours de vacances bien méritées auprès de ses parents à Nice.A son arrivée, il constate leur inquiétante disparition.Un mystérieux message attaché à un galet « Je veut l'églantine », la découverte d'un vieux secret familial, un amour du passé, une course-poursuite dans les rues de Nice pendant la nuit du 14 juillet, vous plongent dans un suspense haletant.Qui est cette mystérieuse églantine ? Parviendra-t-il à sauver ses parents ?La plume fluide et entrainante de l'auteure, vous transporte dans un univers vertigineux, fait d'angoisses et d'émotions.
Jacques Derrida, Gilles Deleuze, Michel Foucault?: tels sont certainement des noms qui résonnent à l'oreille de nos contemporains. Et il s'agit, en effet, des philosophes les plus connus d'un courant de pensée que l'on peut raisonnablement qualifier de «?déconstruction?». Toutefois, loin de se limiter à l'étude de ces trois figures, cet Abécédaire de la déconstruction aborde également les idées et les concepts développés par Maurice Blanchot, Roland Barthes, Jacques Rancière, Jean-Luc Nancy, Giorgio Agamben, Judith Butler et par bien d'autres encore. C'est le succès rencontré par la déconstruction dans les milieux intellectuels, tant à l'Université que dans la sphère politico-médiatique, qui se trouve à l'origine de cet ouvrage.
En cette Pa^que 1960, que fait Lancelot sur la plage de Sale´, devant la citadelle des Oudayas ? Aujourd'hui marie´, a` peine rescape´ d'un attentat, il se pre´pare a` accueilir ses amis au coeur d'une ba^tisse de le´gende, dans la grand salle tapisse´e de fresques dues au pinceau de son fre`re Armand. De Rabat, de Sale´, de Paris, les invite´s de´barquent, se pa^ment devant les fresques. Lancelot s'explique avec son humour coutumier : la cre´maille`re n'est que le signe de son propre sacre. Durant ce week-end, rien a` signaler, a` part une tempe^te ou` l'oce´an rampe vers le Cha^teau, et l'arrive´e inopine´e de son ami Benamar, qui donnera des nouvelles de l'Alge´rie en guerre. La bonne humeur revient avec le soleil au dernier jour de ces vacances.
Vingt ans plus tard, chaque invite´ se reme´more cette Pa^que : chacun se rend compte que, a` un moment impossible a` isoler, une Gra^ce a pris possession du Cha^teau sur la plage. Lancelot, alias Millecam, prend sa plume pour relater les multiples moments de cette gra^ce dans le labyrinthe de son oeuvre (Sous dix couches de te´ne`btres, Et je vis un cheval pa^le, Une le´gion d'anges, Choral, La Que^te sauvage... ) Ce Point d'orgue, monument du discours inte´rieur, figure la charnie`re qui unit le versant alge´rien de l' oeuvre de J-P. Millecam au versant marocain (Le de´fi du petit archer, Trois naufrage´s du Royaume, Ismae¨l et le chien noir, Tombeau de l'Archange, Ismae¨l...)
1975. Louis Malle vient de réaliser Black Moon, un conte onirique, tourné dans le sud-ouest de la France. Le film est audacieux, mais le réalisateur s'ennuie. Peur de s'installer dans une routine qu'il exècre. Malle a déjà une quinzaine de longs métrages à son actif, il est temps de passer à autre chose, d'aller chercher l'inspiration dans d'autres contrées. Entre 1977 et 1986, avec une coda pour son ultime film en 1994, Louis Malle fera des Etats-Unis la terre de ses explorations. A travers huit longs métrages (Pretty Baby, Atlantic City, My Dinner with André, Crackers, Alamo Bay, God's Country, ... And the Pursuit of Happiness, Vanya on 42nd Street), il dressera du pays un portrait inédit, explorant plusieurs thèmes (les migrations, la question raciale, le rapport au temps et au travail, le rituel, la morale, la gentrification) et plusieurs formes cinématographiques, entre fiction, documentaire, théâtre, polar, western et comédie ; Hollywood et cinéma indépendant. Dépeignant une galerie de personnages justes et sensibles, les films américains de Malle rendent compte d'un regard singulier et souvent visionnaire sur le pays, dialoguant avec les sciences sociales et l'anthropologie et toujours prêt à remettre en question les préjugés et les théories à l'emporte-pièce. Fruit d'une série d'entretiens et de recherches en archives, ce livre est à la fois un essai sur le parcours artistique de Louis Malle aux Etats-Unis, une réflexion sur les films qu'il y réalisa, et un voyage au gré de ce qu'il retint du pays et des cultures qui le forment.
Qu'est-ce qu'une oeuvre e´rotique? Qui e´taient ces peintres ou sculpteurs se jouant des sens du spectateur ou de la specta- trice? Pourquoi certaines re´alisations artistiques e´taient-elles juge´es scandaleuses? Qu'est-ce qu'un nu acade´mique ? Pour- quoi le corps de la femme y est-il tre`s majoritairement repre´- sente´ ? Les femmes artistes projetaient-elles e´galement leurs fantasmes? Comment l'homosexualite´ a-t-elle e´te´ aborde´e au fil des sie`cles? Qui e´taient ces mode`les couche´s sur la toile et quelles relations les artistes entretenaient-ils avec elles? Quel a e´te´ le ro^le de l'E´glise dans ce type d'art? Les mou- vements fe´ministes ont-ils libe´re´ le corps de la femme dans l'art? Ou` en est l'e´rotisme en ce de´but de 21e`me sie`cle? C'est un tout autre e´rotisme que l'on de´couvre au cours des sie`cles. Cet essai invite a` une relecture de l'e´rotisme sous un e´clai- rage fe´minin et non a` travers le prisme masculin pre´- dominant et quasi exclusif de l'Art depuis son origine.